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À 33 ans, il met ses douleurs de dos sur le compte de la fatigue… mais découvre un cancer de stade 4

À seulement 33 ans, Thomas* pensait simplement payer le prix de longues journées de travail et d’un mode de vie un peu trop sédentaire. Mais derrière ses douleurs persistantes au dos se cachait une réalité bien plus grave : un cancer diagnostiqué à un stade avancé.

Des douleurs banalisées

Employé dans le bâtiment, Thomas avait l’habitude de ressentir quelques courbatures en fin de journée. Quand une douleur sourde et constante s’est installée dans son dos, il a mis cela sur le compte de la fatigue, du stress et des efforts physiques liés à son métier.

« Je me disais que c’était normal. Je portais des charges lourdes, je restais debout toute la journée… Un peu de mal de dos, ça fait partie du travail », raconte-t-il.

Un retard de diagnostic lourd de conséquences

Les semaines passent et la douleur s’intensifie. Malgré les anti-inflammatoires et le repos, rien n’y fait. Un jour, incapable de se lever sans aide, il se rend aux urgences. Après plusieurs examens, le verdict tombe : Thomas souffre d’un cancer métastatique de stade 4, déjà largement répandu dans son corps.

« J’étais sous le choc. En un instant, ma vie a basculé », confie-t-il, encore ému. Les médecins estiment que la maladie évoluait silencieusement depuis plusieurs mois, voire plusieurs années.

Un mal insidieux

Le cancer qui touche Thomas prend souvent naissance dans un organe (poumons, reins, foie…) avant de se propager aux os, provoquant ainsi des douleurs dorsales. Comme ces symptômes sont fréquents et banals, ils sont parfois négligés, entraînant un diagnostic tardif.

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« Beaucoup de jeunes patients minimisent leurs symptômes, pensant qu’ils sont trop jeunes pour avoir une maladie grave », explique le Dr Martin, oncologue. « C’est précisément ce qui rend ces cancers redoutables : ils se cachent derrière des signes anodins ».

Un message de prévention

Thomas a décidé de témoigner pour alerter : « Si j’avais consulté plus tôt, les choses auraient peut-être été différentes ». Il encourage toute personne souffrant de douleurs persistantes à consulter un médecin, même si elles semblent bénignes.

Le combat continue

Depuis l’annonce, Thomas a entamé un traitement lourd associant chimiothérapie et radiothérapie. Son quotidien est rythmé par les allers-retours à l’hôpital, mais il garde espoir. Soutenu par sa famille et ses amis, il partage son histoire sur les réseaux sociaux pour sensibiliser et aider d’autres malades.

*Prénom modifié pour préserver l’anonymat.

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19 réflexions au sujet de “À 33 ans, il met ses douleurs de dos sur le compte de la fatigue… mais découvre un cancer de stade 4”

  1. Les cancers peuvent se cacher derrière des douleurs banalisées. Consultez rapidement en cas de symptômes persistants.

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  2. Un témoignage bouleversant qui souligne l’importance de consulter rapidement pour ne pas sous-estimer des douleurs persistantes.

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